Tatooine
Il faisait une chaleur étouffante, un des deux soleils était à son zénith. Des soldats impériaux restaient dans leurs tentes au pied des montagnes désertique pour profiter du peu de frais que cela leur procurait.
Seul un groupe de cinq hommes postés à quelques centaines de mètres montaient la garde. Le silence étaient pesant, un des soldats s’était mis à l’écart croyant apercevoir un mouvement. Fausse alerte. Il s’accouda sur son fusil et senti la fatigue le prendre. Ses yeux se fermèrent par leur propre volonté. Il sursauta, se disant que si son lieutenant le voyait en train de roupiller il passerait un très mauvais moment. Tout en pensant à cela ses yeux se fermèrent à nouveaux. Il les ouvrit un instant et ce qu’il vit lui glaça le sang. Un homme se tenait devant lui, Il n’eu ni le temps de dégainer ni de crier. Une présence derrière lui posa la main sur sa bouche et lui brisa la nuque.
Les deux hommes posèrent le corps sans vie sur le sable. L’un d’eux fit un signe pour indiquer qu’il n’en restait plus que quatre. Les soldats n’avaient rien vu, rien entendu. Le plus grand des deux pris alors sa radio et appuya deux fois brièvement. Quatre hommes camouflés immergèrent du sable tels des fantômes et se postèrent à leurs cotés rapidement, silencieusement. Le plus grand, qui semblait être le chef du groupe, indiqua par signes aux quatre fantômes de s’occuper du groupe restant.
C’est alors qu’’un des soldats impériaux s’éloigna tout en s’étirant pour aller se soulager semblait-il. Une aubaine. Le chef se tourna vers l’un de ses hommes mais n’eu pas le temps de lui donner l’ordre. Il avait compris et s’éloigna furtivement de ses équipiers. Le chef fulmina intérieurement et se promis de le sermonner si il survivait à cette opération. Le chef indiqua pour chacun de ses hommes les trois cibles restantes. Tout les cinq se mirent au sol prêt à faire feu. Quand il vit que le « rebelle » s’était occupé de sa cible, il décompta avec ses doigts pour synchroniser leur attaque. Trois, deux, un, top.
Les trois soldats impériaux restant tombèrent comme des marionnettes sans fil. Deux des fantômes accoururent vers les trois cibles et firent un signe pour dire qu’elles étaient toutes hors d’état de nuire. Les six hommes se rejoignirent près des trois cadavres. Le chef dévisagea le « rebelle » et pris la parole :
« Je ne veux plus voir ça petit ! tu as bien compris ?
-Ok fréro pas de soucis !
-Lieutenant, on est en mission soldat.
-Reçu Lieutenant Kaako ! ( sur un air désabusé) ».
L’homme qui avait brisé la nuque du soldat impériale enchaina :
« On aurait dû attendre la nuit pour attaquer le campement, c’est une très mauvaise idée !
-On a reçu des ordres, on ne discute pas, (rétorqua Kaako)
-Je voulais juste dire que... » le lieutenant coupa la parole en mettant un doigt sur la bouche pour montrer que la discussion était close. Kaako reprit :
« On continu selon le plan, frapper vite et fort. On a encore l’effet de surprise, pas de prisonnier ! »
Le lieutenant Kaako se tourna vers le campement et montra discrètement une tente :
« La tente de l’officier est là. On entre on prend la cargaison et on se barre !
Il se tourna vers le « rebelle » :
« Tu feras diversion tu sais ce qu’il te reste à faire ?
-Oui lieutenant.
-Bien, en position ! »….
A suivre....
Il faisait une chaleur étouffante, un des deux soleils était à son zénith. Des soldats impériaux restaient dans leurs tentes au pied des montagnes désertique pour profiter du peu de frais que cela leur procurait.
Seul un groupe de cinq hommes postés à quelques centaines de mètres montaient la garde. Le silence étaient pesant, un des soldats s’était mis à l’écart croyant apercevoir un mouvement. Fausse alerte. Il s’accouda sur son fusil et senti la fatigue le prendre. Ses yeux se fermèrent par leur propre volonté. Il sursauta, se disant que si son lieutenant le voyait en train de roupiller il passerait un très mauvais moment. Tout en pensant à cela ses yeux se fermèrent à nouveaux. Il les ouvrit un instant et ce qu’il vit lui glaça le sang. Un homme se tenait devant lui, Il n’eu ni le temps de dégainer ni de crier. Une présence derrière lui posa la main sur sa bouche et lui brisa la nuque.
Les deux hommes posèrent le corps sans vie sur le sable. L’un d’eux fit un signe pour indiquer qu’il n’en restait plus que quatre. Les soldats n’avaient rien vu, rien entendu. Le plus grand des deux pris alors sa radio et appuya deux fois brièvement. Quatre hommes camouflés immergèrent du sable tels des fantômes et se postèrent à leurs cotés rapidement, silencieusement. Le plus grand, qui semblait être le chef du groupe, indiqua par signes aux quatre fantômes de s’occuper du groupe restant.
C’est alors qu’’un des soldats impériaux s’éloigna tout en s’étirant pour aller se soulager semblait-il. Une aubaine. Le chef se tourna vers l’un de ses hommes mais n’eu pas le temps de lui donner l’ordre. Il avait compris et s’éloigna furtivement de ses équipiers. Le chef fulmina intérieurement et se promis de le sermonner si il survivait à cette opération. Le chef indiqua pour chacun de ses hommes les trois cibles restantes. Tout les cinq se mirent au sol prêt à faire feu. Quand il vit que le « rebelle » s’était occupé de sa cible, il décompta avec ses doigts pour synchroniser leur attaque. Trois, deux, un, top.
Les trois soldats impériaux restant tombèrent comme des marionnettes sans fil. Deux des fantômes accoururent vers les trois cibles et firent un signe pour dire qu’elles étaient toutes hors d’état de nuire. Les six hommes se rejoignirent près des trois cadavres. Le chef dévisagea le « rebelle » et pris la parole :
« Je ne veux plus voir ça petit ! tu as bien compris ?
-Ok fréro pas de soucis !
-Lieutenant, on est en mission soldat.
-Reçu Lieutenant Kaako ! ( sur un air désabusé) ».
L’homme qui avait brisé la nuque du soldat impériale enchaina :
« On aurait dû attendre la nuit pour attaquer le campement, c’est une très mauvaise idée !
-On a reçu des ordres, on ne discute pas, (rétorqua Kaako)
-Je voulais juste dire que... » le lieutenant coupa la parole en mettant un doigt sur la bouche pour montrer que la discussion était close. Kaako reprit :
« On continu selon le plan, frapper vite et fort. On a encore l’effet de surprise, pas de prisonnier ! »
Le lieutenant Kaako se tourna vers le campement et montra discrètement une tente :
« La tente de l’officier est là. On entre on prend la cargaison et on se barre !
Il se tourna vers le « rebelle » :
« Tu feras diversion tu sais ce qu’il te reste à faire ?
-Oui lieutenant.
-Bien, en position ! »….
A suivre....
Dernière édition par kaako le Ven 5 Juil - 21:36, édité 4 fois